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Le Conseil d’Administration

Le Conseil d’Administration est l’organe de direction opérationnel de l’Association. Ses membres sont élus par les adhérents au cours d’une assemblée générale. La durée de leur mandat est de trois ans. Le Conseil d’Administration élit son bureau : Président, Vice-président, Secrétaire général, Trésorier.

La composition actuelle du Conseil d’Administration est la suivante : Présidente : Pr Sylvie DELANIAN – Vice-Président : Pr Pierre-François PRADAT – Secrétaire générale : Roselyne NICOLAS – Trésorier : Benoit BRUET – Responsables des Relations Extérieures : Jean-Pierre BRIOT – Délégations : Bretagne : Jean VALLÉE – Occitanie : Hans CARL.

Le Bureau de l’ARSER

Les Délégations Régionales

Les Délégations Internationales

L’ARSER Suisse

Le Comité

Adresse postale :

14 boulevard Georges Favon

CH-1204 Genève

Tél. : +41 (0)79 615 98 39

Mail : hello@arser.ch

Site Internet : www.arser.ch

 

Le Conseil Scientifique

L’Association est assistée au niveau national par un conseil scientifique. Les membres du conseil scientifique sont choisis par le conseil d’administration pour un mandat de deux ans, renouvelable. Le rôle du conseil scientifique est défini dans le règlement intérieur.

La composition actuelle du Conseil Scientifique est la suivante :

Pourquoi l’ARSER ?

Dr Sylvie DELANIAN – Oncologue-Radiothérapeute, Hôpital Saint-Louis

C’est un grand espoir parce qu’elle se démarque par sa pertinence, d’une part, et son absence de quérulence, c’est-à-dire que l’objectif n’est pas de protester, de dire « pourquoi moi ? ».

… Bon, il y a un constat de « C’est inéluctable », en revanche : « Que peut-on faire ?».

C’est-à-dire, c’est une question active. On a déjà dans cette association digéré la pilule de : « Tant pis, c’eût été préférable que ça n’arrive pas ; mais maintenant que c’est arrivé, que fait-on ?».

Les pouvoirs publics font très bien tout ce qui est en amont, c’est-à-dire la prévention, le fait de faire une radiothérapie plus ciblée, plus adaptée, plus intelligente ; mais de toutes manières, quoiqu’on fasse, il y aura toujours un petit contingent et ce petit contingent ce sont des gens et ces gens ils existent. Derrière les radios, il y a quelqu’un et ce quelqu’un a besoin d’être aidé et je veux bien être une des personnes qui veut bien les aider.

Dr Pierre-François PRADAT – Neurologue, Hôpital La Pitié-Salpêtrière

J’ai surtout eu la chance de pouvoir rencontrer Monsieur Hervé LIONEL-MARIE et de me rendre compte que ce qu’il pouvait apporter à cette thématique qui m’intéressait été absolument déterminant et qu’il pouvait apporter des choses que moi j’étais incapable de fournir.

Alors on a parlé du financement de la recherche, c’est vrai qu’il y a le financement institutionnel mais il est insuffisant. Donc il y a besoin que la société civile vienne apporter son support. Donc le rôle d’une association dans cette optique est absolument essentiel.

Il y a une autre chose c’est de pouvoir dialoguer avec les pouvoirs publics. Et on sait que l’évolution actuelle qui est d’ailleurs, peut-être et même sans doute, une bonne évolution et que les interlocuteurs des pouvoirs publics ne sont plus les médecins mais sont les associations de patients. Donc l’ère des médecins tout-puissants que les ministres consultaient, c’est du passé. Donc on a besoin de gens qui sont concernés par la pathologie mais qui ont une vision plus large que notre vision technique qui est forcément réductrice des problèmes médicaux.

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