Le Pr Sylvie Delanian a donné une conférence « Interrogations psychosomatiques en oncologie » le 11 juin 2022 dans le cadre des Dialogues Psychosomatiques en Oncologie organisés par la Société de Psychosomatique Intégrative, Hôpital Pitié Salpêtrière, avec les Pr Benjamin Stora et Dr Lionnel Nacache (voir le diaporama dans le volet Témoignages, Articles & Chroniques).
L’assemblée générale 2021 s’est tenue le 2 février 2022 et le PV d’AG correspondant a été déposé sur le site.
Association pour la recherche sur les séquelles de la radiothérapie
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Le Conseil d’Administration
Le Conseil d’Administration est l’organe de direction opérationnel de l’Association. Ses membres sont élus par les adhérents au cours d’une assemblée générale. La durée de leur mandat est de trois ans. Le Conseil d’Administration élit son bureau : Président, Vice-président, Secrétaire général, Trésorier.
La composition actuelle du Conseil d’Administration est la suivante : Présidente : Pr Sylvie DELANIAN – Vice-Président : Pr Pierre-François PRADAT – Secrétaire générale : Roselyne NICOLAS – Trésorier : Benoit BRUET – Responsables des Relations Extérieures : Jean-Pierre BRIOT – Délégations : Bretagne : Jean VALLÉE – Occitanie : Hans CARL.
Le Bureau de l’ARSER
Pr Sylvie DELANIAN – Présidente
Pr Pierre-François PRADAT – Vice-Président
Roselyne NICOLAS – Secrétaire Générale
Benoît BRUET – Trésorier
Jean-Pierre BRIOT – Responsable des Relations Extérieures
L’Association est assistée au niveau national par un conseil scientifique. Les membres du conseil scientifique sont choisis par le conseil d’administration pour un mandat de deux ans, renouvelable. Le rôle du conseil scientifique est défini dans le règlement intérieur.
La composition actuelle du Conseil Scientifique est la suivante :
Pr Pierre-François PRADAT – Président du CS – Docteur en Médecine, Docteur ès Sciences, Praticien Hospitalier, Chercheur, Département des Maladies du Système Nerveux (Hôpital de La Pitié-Salpêtrière – APHP – Paris), Professeur de Neurosciences (Université d’Ulster – Royaume-Uni)
Pr Sylvie DELANIAN – Vice-Présidente du CS – Docteur en Médecine, Docteur ès Sciences, Praticien Hospitalier en Oncologie-Radiothérapie, Radiopathologie, Fibrose (Hôpital Saint-Louis – APHP – Paris), Professeur au Collège de Médecine (HP)
Dr Sameh AWAD – Docteur en Médecine, Ancien PH à l’Hôpital Georges Pompidou, PA à l’Hôpital Paul Brousse, Radiologue Vasculaire et Interventionnel, Membre de la Société Française de Radiologie, la Société Francophone de l’Abord Vasculaire, de la Société Française d’Imagerie Cardiaque et Vasculaire, et de la Société Européenne de Radiologie Cardiovasculaire et Interventionnelle
Pr Céline BOURGIER – Docteur en Médecine, Docteur ès Sciences, Professeur des Universités (MCU), Praticien Hospitalier, Directrice de l’École du Cancer, Oncologie-Radiothérapie & Radiopathologie (Institut du Cancer de Montpellier – ICM)
Dr Cécile CHATEL – Docteur en Odontologie, Praticienne Hospitalière, Odontologue au Service de Chirurgie Plastique et Maxillofaciale (CHU de Grenoble)
Dr Alexandra FOURCADE – Docteur en Médecine, Spécialiste en Santé publique au Ministère de la Santé, Adjointe au Maire de Neuilly-sur-Seine
Pr Mehdi KAROUI – Docteur en Médecine, Docteur ès Sciences, Professeur des Universités, Praticien Hospitalier (PUPH), Chirurgie Viscérale et Digestive, Chef de Service à l’Hôpital Georges Pompidou (APHP – Paris), Bureau du Collège de Chirurgie et du Conseil National des Universités de Chirurgie Viscérale et Digestive
Jean-Louis LEFAIX – Docteur ès Sciences, Ancien Chercheur en Radiobiologie-Radiopathologie au Laboratoire de Recherche de Radiobiologie du Commissariat à l’Énergie Atomique (CEA – Caen)
Dr Gwendoline SEBILLE – Docteur en Médecine, Dermatologue Libérale au Centre Laser de Paris (CLIPP), DIU de Dermatologie, Ancienne Interne du CHU de Strasbourg, Ancienne Résidente de l’Hôpital Gustave-Roussy, Membre de la Société Française de Dermatologie et du Groupe Laser
Dr Stéphane VIGNES – Docteur en médecine, Chef de Service de l’Unité de Lymphologie à l’Hôpital Cognacq-Jay (Paris), Centre de Référence des Maladies Vasculaires Rares
Pr Marie-Catherine VOZENIN – Docteur ès Sciences, Professeur des Universités, Chercheur en Radiobiologie-Radiopathologie, Directrice du Laboratoire de Recherche de Radio-Oncologie (CHUV de Lausanne – Suisse)
Pourquoi l’ARSER ?
Dr Sylvie DELANIAN – Oncologue-Radiothérapeute, Hôpital Saint-Louis
C’est un grand espoir parce qu’elle se démarque par sa pertinence, d’une part, et son absence de quérulence, c’est-à-dire que l’objectif n’est pas de protester, de dire « pourquoi moi ? ».
… Bon, il y a un constat de « C’est inéluctable », en revanche : « Que peut-on faire ?».
C’est-à-dire, c’est une question active. On a déjà dans cette association digéré la pilule de : « Tant pis, c’eût été préférable que ça n’arrive pas ; mais maintenant que c’est arrivé, que fait-on ?».
Les pouvoirs publics font très bien tout ce qui est en amont, c’est-à-dire la prévention, le fait de faire une radiothérapie plus ciblée, plus adaptée, plus intelligente ; mais de toutes manières, quoiqu’on fasse, il y aura toujours un petit contingent et ce petit contingent ce sont des gens et ces gens ils existent. Derrière les radios, il y a quelqu’un et ce quelqu’un a besoin d’être aidé et je veux bien être une des personnes qui veut bien les aider.
Dr Pierre-François PRADAT – Neurologue, Hôpital La Pitié-Salpêtrière
J’ai surtout eu la chance de pouvoir rencontrer Monsieur Hervé LIONEL-MARIE et de me rendre compte que ce qu’il pouvait apporter à cette thématique qui m’intéressait été absolument déterminant et qu’il pouvait apporter des choses que moi j’étais incapable de fournir.
Alors on a parlé du financement de la recherche, c’est vrai qu’il y a le financement institutionnel mais il est insuffisant. Donc il y a besoin que la société civile vienne apporter son support. Donc le rôle d’une association dans cette optique est absolument essentiel.
Il y a une autre chose c’est de pouvoir dialoguer avec les pouvoirs publics. Et on sait que l’évolution actuelle qui est d’ailleurs, peut-être et même sans doute, une bonne évolution et que les interlocuteurs des pouvoirs publics ne sont plus les médecins mais sont les associations de patients. Donc l’ère des médecins tout-puissants que les ministres consultaient, c’est du passé. Donc on a besoin de gens qui sont concernés par la pathologie mais qui ont une vision plus large que notre vision technique qui est forcément réductrice des problèmes médicaux.