Répondre à : Plexite post-radique

#1103
Marie-Christine D.
Participant

Message publié le 25/11/2015 par Marie-Christine DEPINAY, transféré par le modérateur à partir du Forum de l’ancien site ARSER.
Bonjour à tous. Je n’arrive plus à savoir quelles sont les bonnes questions que je dois me poser pour résoudre au mieux mes problèmes de santé ! Je me sens dans une spirale infernale et sans limite ! Alors je me suis dit que peut-être je n’étais pas la seule à qui cela pouvait arriver.
Grâce au Dr Delanian et son équipe, nous avons désormais une sacrée boîte à outils ! Alors je me lance :
Atteinte de plexopathie post-radique, je suis actuellement sous « Pentoclo ». Je prends aussi contre la douleur du LYRICA 200mg 2 fois par jour. Je prenais aussi un antidépresseur, du Zoloff remplacé par Cymbalta 60mg par jour. J’ai dû arrêter progressivement le Cymbalta pour vérifier si les troubles de vision que je ressentais provenaient de ce médicament. Mais ils peuvent venir aussi du Lyrica et là je ne vois pas, si je puis dire, comment faire sans ! Pendant ce temps-là, les douleurs sont devenues plus intenses (et oui, moi qui pensais avoir atteint le haut du panier !), ma main droite a fondu et perdu de la mobilité. J’ai de plus en plus de difficulté à serrer quoique ce soit. Et évidemment, le moral en a pris un sacré coup !
Mes questionnements : Je perds la préhension de ma main droite parce que je souffre trop ? L’antidépresseur est-il un bon « antalgique » ? Peut-on prendre du Lyrica à perpète sans y laisser un « bras » ou un « oeil » ? Puis-je arrêter le Lyrica contre un super antidépresseur ? J’avais pourtant bien mis en place, me semble-t-il, de bons outils pour gérer ce problème de santé handicapant et douloureux, en complément du traitement du Dr Delanian, comme l’hypnose, la sophrologie, la méditation, mais là je suis « larguée ». Je me dis que je me plante quelque part, mais où ?
Alors, si l’un d’entre vous a quelques lumières à me donner… ou remarques ou critiques…Tout sera bienvenu ! Merci d’avoir réussi à me lire jusqu’au bout… Cordialement, Marie. Grand merci à l’avance.